Trolley.ch

[SysDav]

Avez-vous des photos des nouveaux trolleybus HESS qui vont arriver à Lausanne dès décembre 2009 ?

[Rom_83]

Regarde dans ce sujet : http://forum.trolley.ch/viewtopic.php?t=1116

Y'a une photo d'un Swisstrolley 3 des VBZ et les tl ont commandé la même version, donc nos futurs trolley ressembleront à ça.

[SysDav]

[bustpg]

Pour ma part, je n'apprécie pas le nouveau design Hess, et je trouve l'ancien design comme Genève trop dépassé...

Niveau capacité, environ 140 places dont une quarantaine assises
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Ma galerie de photos: http://atpic.com/en/5730

[SysDav]

[SysDav]

Vont-ils agir comme sur les NAW et les FBW sur le pourtout du véhicule en posant les pictogrammes actuels (personnes âgées, handicapées, ...), les inscriptions "ce trolleybus roule à l'électricité" et le logo TL La carrosserie sera-t'elle changée/repeinte/refaite/etc...

[trolleyman]

[neoplan809]

hey hey il suffit de chercher un tout petit peu !!!


et même le texte (tiré du 24heures, le journal !)

Dans une halle industrielle, des dizaines de carcasses blanches sont assemblées par des techniciens à l’aide de tournevis électriques. Chez Hess SA, dans la banlieue de Soleure, on produit des bus depuis plusieurs générations, en employant une technique bien particulière, protégée par des brevets. C’est dans cette usine et avec cette méthode qu’a commencé la construction de 35 trolleybus électriques pour Lausanne. Les Transports publics de la région lausannoise (TL) ont en effet pris la décision de renouveler leur flotte vieillissante d’engins à perches aériennes. Les plus vétustes ont plus de trente ans de service. Et à la suite d’un appel d’offres international, les TL ont arrêté leur choix et fait appel au spécialiste suisse de ce genre de véhicules.

«Voici le premier des véhicules pour Lausanne. Il manque encore la partie traction électrique, dans les convertisseurs et les perches», note Alex Naef, le jeune patron de Hess SA. A 40 ans, il représente la continuité dans cette entreprise familiale. Le véhicule dont il parle trône seul dans une halle un peu isolée. Des techniciens y mettent en place des adaptations du design de base. Le gros du travail chez Hess réside pour l’heure en la réalisation de toute une série de trolleybus pour la ville allemande de Solingen; Lausanne viendra juste après, avec une première livraison à la fin de cette année, et le reste en 2010.

Sur la paroi externe de la carrosserie du futur bus TL, on reconnaît juste le rectangle bleu sur fond blanc, emblématique des bus de la région lausannoise. Les sièges et les équipements intérieurs sont déjà installés, tout comme les portes électriques. «Ces portes coulissantes sont l’une de nos spécialités, note Alex Naef. Elles permettent d’avoir plus de places debout, et leur système électrique garantit un fonctionnement optimal dans les différentes conditions de température.» Il rappelle au passage que l’emploi de l'aluminium pour la carrosserie, commun à tous les produits de la maison soleuroise, offre une plus grande durée de vie: il résiste mieux à la corrosion que l’acier. Un trolleybus est censé rouler au moins vingt à trente ans.

10 km de câbles électriques
Pour «construire» ses trolleys, Hess part d’un châssis maison, nanti de ses roues. On y visse les parois de l’engin, sans les vitres. Le toit est fait à part. Il prendra place sur la carcasse, un peu plus tard.

Les câblages électriques sont pré-intégrés sur chaque grand élément, selon les demandes des clients. «Cela nous fait gagner du temps, c’est plus économique, explique Alex Naef. On peut avoir jusqu’à 10 kilomètres de câbles dans un trolleybus, et tout doit être fait de manière irréprochable, entre autres pour prévenir tout risque d’incendie.» Il n’approfondira pas le sujet, mais les usagers des TL ont encore en mémoire les deux incendies survenus «spontanément» en 2005 sur les dernières acquisitions lausannoises, les fameux trolleys bimodes produits par la maison allemande Neoplan.





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Sur les pentes lausannoises ou sur les tarmacs du monde


L’entreprise mandatée par les TL a été fondée en 1882 par Heinrich Hess, puis reprise par la famille Naef en 1956. En se positionnant sur le marché des trolleybus, elle a dû innover en matière de standardisation, histoire de pouvoir compresser les prix, plus élevés que pour un autobus par exemple. Pour obtenir cette standardisation, Hess fait un usage intensif de CO-BOLT, un «mécano» breveté par l’entreprise et utilisé pour assembler les différentes parties de ces bus. Il permet toutes sortes de combinaisons dans la forme des carrosseries, à partir d’éléments identiques au départ. Sur le marché mondial, CO-BOLT a fourni un bel atout à l’entreprise. Grâce à différents accords de partenariat et de construction sous licence, ce système a donné naissance à l’une des plus prolifiques familles de véhicules de transports publics, les Cobus. Ces bus d’aéroport sont fabriqués au Portugal avec l’expertise de Hess, et commercialisés par Contrac, une entreprise allemande. On les retrouve partout, de Genève au Japon, en passant par les Etats-Unis ou Israël. La production annuelle est de 1800 unités en moyenne! Hess contribue aussi à la construction de nombreux autobus de par le monde, toujours sous licence.

J. DU.

[SysDav]

Oui, en effet Très intéressant cet article et jolie image, merci neoplan

[Coccodrillo]

Selon retrobus.ch, ils seront numerotés 831-865.
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Salvate italiano e francese, per favore!

Sauvez l'italien et le français, s'il vous plaît!

[hallucine]

[SysDav]

Pourquoi les gens auraient peur de monter dedans si ils sont immatriculés 800

[neoplan809]

réfléchis ???!!!

[Pendulaire]

[neoplan809]

avec toutes les questions qu'il pose il doit tout savoir maintenant !

les 818 et 825 avaient brulés, donc la série 800 et les gens savaient très bien que le 818 et 825 avaient brulés donc les gens son tellement c**** à Lausanne que même numéro que les anciens bah ils n'oseront pas montés